Au centre hospitalier de Bayonne l'euthanasie est à la surface du domaine. Un médecin aurait pratiqué la fin de vie active sur sept patients à bout de souffle. Abréger la souffrance de plusieurs malades supportant une situation médicale impossible à résoudre en l'absence du thérapeutique viable, n'est-ce pas la décision la plus saine pour un médecin seul a décider de la responsabilité de qui doit suivre ?
Aujourd'hui, un médecin plein de courage, se voit interdit d'exercer le temps d'une procédure de justice. Après l'affaire Malèvre, Humbert et bien d'autres, voilà un praticien médical accusé de crimes avec le risque d'être en prison. Pourtant, ce n'est pas le cas. Les criminels sont la majorité des personnages politiques porteurs de la construction des lois pour améliorer le sort des hommes.
Les défenseurs du droit de mourir dans la dignité sont scandalisés. Espérons que les élections présidentielles de 2012 seront favorables à une loi complémentaire pour aider les médecins, les soignants et les familles à assumer leurs responsabilités selon le désir des malades en fin de vie.
A force de supporter l'aigreur des élus du peuple, l'intelligence de ces maudits personnages, changera, tôt ou tard, afin de nous donner une révolution de velours dans les domaines hospitaliers...
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