En 1914 commençait une guerre mondiale, la plus atroce pour la France. Les soldats se battaient en corps à corps avec les fusils prolongés d'une baïonnette au bout du canon. Le plus adroit des deux soldats restait debout.
Les soldats refusant d'avancer vers le front, étaient fusillés pour l'exemple, par leurs camarades désignés d'office. Aujourd'hui leur mémoire n'est toujours pas réhabilité. Georges Clémenceau, Ministre de la guerre et Raymond Pointcare, Président de la République considéraient qu'ils étaient en situation de trahison. De ce fait, ils ont été reconnu comme des criminels de guerre. Leurs noms n'ont pas été mentionné sur les monuments.
Il y avait dans la liste quatre soldats en garnisons au 129 éme dans le caserne Kléber du Havre. Il s'agissait de Marcel Duchemin, Marcel Lebouc, Adolphe Lefrançois et André Mille. Ils ont été exécutés le 28 Juin sur le chemin des Dames à Rarécourt.
Avec le centenaire du début de cette bataille la plus longue dans les faits, une promesses de réhabilitation devrait être une réalité dans peu de temps. Il est logique de commémorer cette période en l'honneur de l'ensemble des poilus.
Avec le centenaire du début de cette bataille la plus longue dans les faits, une promesses de réhabilitation devrait être une réalité dans peu de temps. Il est logique de commémorer cette période en l'honneur de l'ensemble des poilus.
A tous nos soldats ...
1 commentaire:
Tout à fait d'accord pour la reconnaissance de ces hommes morts au champ d'horreurs.
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