mercredi 15 octobre 2008

SANTE : Infections nosocomiales


A chaque hospitalisation, normalement prévue pour une éventuelle guérison, il y a toujours un risque de ressortir du domaine de soins avec une autre maladie, plus grave, contractée parfois par un manque d'hygiène des lieux où les méthodes thérapeutiques doivent être exemplaires.

Guillaume DEPARDIEU en serait une victime. Bien sûr, l'alcool et la drogue ont accéléré sa mauvaise humeur et aggravant ses phatologies apparemment irréversibles.

Espérer guérir pour améliorer ses problèmes de santé, il est impossible, pour un patient, d'accepter une histoire médicale "programmée" par un manque de prévention quant aux risques majeurs dans nos hôpitaux. L'insuffisance des personnels et des équipements donnent des frissons pour entrer dans un endroit aussi sensible. Je connais très bien ces espaces où l'abandon des malades est une réalité faute de prise en charge totale.

Parce que Guillaume DEPARDIEU était un artiste de haut niveau et médiatisé, il voulait en profiter pour construire une fondation contre les maladies nosocomiales dont il en a supporté une atteinte très ravageuse. Tant que les politiques préfèrent ignorer les tristes incidents hospitaliers au profit du "fric" la santé de chacun pourra être aggravée.
Vivement que la Fondation Guillaume DEPARDIEU se développe au détriment des "conneries" écono-politiciennes ...

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