Dans mon article du 09 août 2009 - "HOPITAL Jacques Monod", j'avais parlé de l'accueil aux urgences. Depuis, ce jeudi 25, encore une fois, je me suis retrouvé d'office dans ce même service. Ma pathologie m'appelle à d"autres escapades en ce lieu apparemment maudit pour ma "pomme" et, je pense, pour de nombreux patients. D'ores et déjà, arrivé en ambulance assez tôt le matin, il me fallait attendre l'après midi pour la visite d'un médecin, une prise de sang et une radiographie. Mal installé dans un lit peu confortable, avec une entorse au genou gauche, même si ce n'est pas grave, je devais supporter la douleur instamment négligée par l'aide des soignants et, je n'entrerai pas dans les détails quant aux signes cliniques de ma maladie sévère et irréversible. Ce qui peut être étonnant, c'est que je n'ai pas eu aucun repas de la journée et pas plus à boire. Il m'a juste été proposé un yaourt lorsque j'étais sur le brancard du retour. Bien entendu, j'ai refusé. Ça ressemble au Sahel hospitalier. Indéniablement, il n'y a pas d'organisation dans ce service. Je veux bien accepter que l'administration a décidé, sur plusieurs mois la suppression de plus de 500 postes. Mais enfin, ce n'est pas une raison pour négliger les patients. J'espère que le Directeur Général et le Président du Conseil d'Administration vont quand même un jour se préoccuper de l'activité médicale en dérive pour tenir compte de ce que signifie URGENCE ...
vendredi 26 février 2010
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1 commentaire:
Alors là, faut voir avec le bon Antoine, un GRAND maire paraît-il ..que j'ai lu par ailleurs...
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