Le gouvernement a instauré, depuis plusieurs années, l'obligation de verser à chaque acte médical, une franchise de 50 centimes à 1 euro.
Il fallait resserrer le trou de la Sécurité Sociale. Comme depuis des années, la politique de re platrage n'a pas les effets escomptés. Aujourd'hui, le déficit est aussi large qu'une cangrène inguérissable. Au niveau des gouvernements, qui se sont succédés en plusieurs décennies, les universitaires médicaux n'ont pas trouvé de thérapeutes pour guérir ce fléau toujours aggravant.
Dans l'attente, se sont les malades atteints de pathologies chroniques qui sont à contribution pour tenter de résoudre le problème budgétaire de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie. Vu les méthodes employées par décisions ministérielles, ça peut durer...
Il y aurait environ 20 à 25 % des patients qui refuseraient de respecter les prescriptions des médecins. Si le 100 % de prises en charge existe sur papier, dans les faits, c'est une fausse réalité... Les Ministres de la Santé et des Affaires Sociales jouent, face aux plus vulnérables, le "trompe oeil".
Si la France compte, en Europe, le plus grand nombre de centenaires, les chiffres pourraient s'inverser !
Candidates, candidats, laissez-nous une France plus douce !
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