Les candidats à la prochaine élection présidentielle ne semblent pas s'émoustiller pour parler d'euthanasie.
Pour les candidats de droite, il est impossible d'en discuter entre eux puisqu'ils ont l'habitude de faire une politique de racolage par des lois assez tordues. Ils se sentent obligés d'obéir aux injonctions de Benoit XVI et de ses disciples.
Pour les candidats de gauche, J'ai l'impression qu'il faut éviter de parler euthanasie aussi. Peu de renseignements sortent, voire, dans les documentations. Cela apparaît que c'est, à leur niveau, un domaine encore assez tabou.
Entre temps, des patients souffrent jusqu'à l'agonie. Leurs fin de vie se termine, souvent à long terme, par une mort considérée naturelle mais douloureuse psychologiquement et/ou physiquement.
Je considère que refuser l'euthanasie active, voire passive, aux malades qui demandent d'en finir avec la souffrance, c'est une non assistance à personnes en danger.
Des familles achèvent volontairement la vie de leurs proches pour pallier le manque de volonté politique de la part de nos grands élus nationaux
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