400 emplois et plus, partiront en fumée. Après le record de bénéfice, 14 milliards d'euros en 2008, la direction annonce la suppression de plus de 200 emplois sur le site de Gonfreville l'Orcher sans compter le sort funeste sur celui de Gravenchon. Après Michelin, il y a quelques années, Total emploie la méthode radicale pour, sans aucun doute, gonfler les poches de ces bienheureux actionnaires. L'ensemble de classe politique est scandalisée par ce comportement exécrable que soit-il. Les salariés ont toujours bonne réputation chez les pétroliers. Aujourd'hui, ils ont affaire à des "patrons voyous". Pourquoi ne pas les enfermer dans un cachot de béton et nationaliser la pétrochimie ? Peut-être la seule manière de respecter les salariés, qui seuls, font vivre un gros milieu encore indispensable à l'économie du pays, et d'autres.
Lutter contre une pollution pour en créer une autre aussi dangereuse, cela mérite une réflexion plus potable !
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