DSK se voit attribuer un abandon, par le procureur de Manhattan, de son procès le plus ignoble d'une histoire d'un présumé viol. Un mystère demeurera méconnu pour tous.
Un procès bouclé avant la fin d'une procédure, n'est pas un procès !
Qui a raison, qui a tord ? Personne va connaître la vérité. S'il y a des heureux, d'autres vont subir les conséquences et plus particulièrement les femmes. A entendre l'histoire de cette affaire, il y a deux victimes.
Selon les propos d'une personnalité New Yorkaise, mieux vaut être white et riche que black et pauvre...
En France, de nombreux ténors politiques, gauche droite, se réjouissent de la conclusion versée par le procureur américain. Pourtant, personne ne sait, comme dans un couple, ce qui se passe en cachette ! Seules les données médicales ont raison, avec l'appui des analyses ADN, des sévices supportés par un tiers. Alors, mieux vaut s'abstenir des jugements précipités à tord et travers.
Aujourd'hui, l'affaire dite classée n'a pas fini de son passage très sombre. Je pense qu'après une médiatisation excessive, les magazines peoples seront là pour prendre la suite de la presse classique. Il y aura beaucoup à dire et développer les comédies sur le cul et le sexe.
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