Total annonçant 193 suppressions d'emplois dans ses unités Normandes. En même temps, 14 milliards d'euros de bénéfice en 2008. Ce qui peut étonner les contribuables, c'est l'aide financière que propose Antoine Rufenacht, président de la C.O.D.A.H. Il veut verser 30 millions d'euros au nom de l'intercommunalité. Jean-Paul Lecoq, vice président de la C.O.D.A.H, refuse que l'argent publique soit donné au groupe Total auteur de licenciements malgré le pactole réalisé en 2008. Jean-Paul Lecoq est aussi député maire P.C. de Gonfreville l'Orcher, fief de la raffinerie de Normandie. Son dynamisme est remarquable et il doit être soutenu pour faire échec à la tentative élaborée, par abus de pouvoir et de l'intelligence d'Antoine Rufenacht. Martine Aubry, première secrétaire du P.S., demande à Total de rembourser les aides publics qui ne font que renforcer les gros capitaux du groupe et plairent aux actionnaires toujours plus gourmands. Le président de la C.O.D.A.H. fait encore une erreur de gestion pour satisfaire, probablement, ses amis. Il a dit que c'est l'argent de la taxe professionnelle. Si je comprends bien, c'est un aller-retour de budget en budget ! Drôles de manières de gérer l'argent publique émanant de tous les contribuables.
Tout pour les plus riches, rien pour les plus pauvres !