mercredi 30 septembre 2009

LE HAVRE et son nouveau stade : Quel nom ?


La presse havraise appelle ses lecteurs pour proposer un nom au futur stade. C'est une bonne idée de responsabiliser la population fan de foot.

Je propose l'appellation de STADIUM DOYEN. Ça refléterai la réalité de la fondation du H.A.C. dont une gravure existe déjà sur la façade de l'immeuble, angle boulevard François 1er et avenue Foch, lieu de villégiature de notre ballon rond qu'aurait aimer porter dans ses bras François 1er.

Si vous ne trouvez pas de nom appelez le René SORET ! :-)

jeudi 17 septembre 2009

JEUNESSE DU XXI ème siècle, votez dès 16 ans


Selon la presse havraise l'Union Nationale Lycéenne (U.N.L.) lance une campagne pour le droit de vote dès 16 ans. Le syndicat lycéen estime que si l'on considère les jeunes pénalement responsables à partir de 16 ans on ne peut plus leur interdire d'assumer leurs droits civiques aux élections locales ou nationales, voire, européennes. Aujourd'hui, la jeunesse évolue avec modernité. Ils ont l'esprit plus développé que les générations précédentes à âge égal. Internet et l'ensemble des technologies culturelles les aident assez bien pour devenir des femmes et des hommes matures à intégrer leurs droits et leurs devoirs ! Mais, nous n'avons pas le droit de freiner le développement de l'intelligence en évolution constante suivant les moeurs actuels. Notre jeunesse, c'est l'avenir de demain. Bien entendu, une décision politique, en ce sens, fera grincer des dents, et plus particulièrement, chez les "têtes grises". Il faut se souvenir, lorsque la majorité avait passé de 21 à 18 ans les oppositions étaient assez fortes. A cette époque les plus de 21 ans considéraient ceux inférieurs en âge comme des "galopins". Maintenant, les "galopins" sont capables de prouver leurs capacités intellectuelles et, ce qu'ils savent faire dans notre société plutôt "recularde".

Jeunes, aux urnes citoyens ....

Avis d'un petit vieux.

lundi 14 septembre 2009

TAXE CARBONE & handicap


Ah ! une nouvelle taxe est adoptée pour l'année 2010. Voila un impôt de 17 euros en plus par tonne de C.O2 émis par les énergies fossiles : pétrole & dérivés, gaz, etc... Assurément, l'électricité échappe à cette contribution de tous les contribuables. Il fallait bien protéger les lobbies du monde nucléaire. L'Etat propose de dédommager les revenus non imposables. Il ne dit pas quel niveau de la notification d'impôts cela sera pris en compte ! Au calcul final de la déclaration ou après le résultat des 10 et 20 % avant les déductions possibles ? Aujourd'hui, il y aurait 60 % des personnes contre cette nouvelle taxe. Dans les milieux politiques, droite et gauche, un grand nombre d'élus sont favorables à ce nouvel impôt. Certains disent que le taux est trop bas. Je ne suis pas pour autant convaincu que la planète sera assainie grâce à un impôt ! Pourquoi ne pas toucher, en premier lieu, les plus gros pollueurs : aviation, industries rejetant les plus mauvaises fumées, voitures de course sur les grands prix, etc...

En tout cas, les handicapés vont probablement payer la consommation d'énergie provoquée par la force motrice de leurs muscles. Où est la pollution pour faire avancer un fauteuil roulant ?

De toutes manières, quand l'Etat a usé ses idées pour enrichir les caisses publiques, il faut bien puiser dans les petits fonds des plus faibles ! C'est la culture moderne des personnages politiques en place qui ont peur de ne plus faire gratifier leurs lingots d'or. C'est une si belle collection !

lundi 7 septembre 2009

SECURITE SOCIALE : Le trou noir


Encore une fois, les malades vont subir les effets d'une gestion déplorable de la Sécurité Sociale. Pour combler le déficit, le forfait hospitalier va passer de 16 à 20 euros (+ 25 %). Certains médicaments vont être déremboursés ou d'autres le seront sur un barème de remboursement qui doit passer de 35 à 15 %. Chaque année, le déficit est en forte hausse. Le gouvernement adopte toujours une politique de replâtrage qui ne peut durer que 12 mois. Les patients atteints de maladie chronique sont les premiers à subir une gestion archaïque. Avec un organisme qui est le fourre-tout de la solidarité, le problème demeurera sur une très longue durée. Si on informait, poste par poste, les raisons du déficit plutôt global, chacun des assurés pourrait trouver une clareté du manque à gagner. Si on persévère sur le mode de gestion actuel, les malades à 100 % n'auront plus les moyens de survivre. Aujourd'hui, le 100% existe sur papier mais dans les faits, c'est une escroquerie maquillée. J'en sais quelques choses, atteint d'une grave maladie mon 100% coûte très cher. Des médicaments utiles pour lutter contre ma maladie, à caractère évolutive, ne sont plus, ou partiellement, remboursés. Il y a aussi des objets plutôt orthopédiques qui sont normalement pris en charge. Exemple : une paire de chaussettes de contention valent 30 euros. A 100% , je paie 12 euros de mes deniers. Et, ce n'est pas tout ....

J'ai l'impression de revenir à l'époque hitlérienne ou le führeur souhaitait ne plus soigner les impotents. Ceux-ci mouraient plus vite. Les malades et les vieux étaient considérés inutiles au service de la société économique. Ils devaient disparaître dès que possible. Il était ainsi souhaité d'éviter de grèver l'économie du pays.

Il est temps que les personnes, victimes de décisions politiques, manifestent leurs désapprobations en s'adressant aux grands élus de l'U.M.P (Union en Mouvement Populaire). Pour exiger une autre thérapie financière, et plus solidaire envers les plus faibles, pourquoi pas créer une autre U.M.P. (Union des Masses Populaires) ? Ne serait-ce pas une concurrence loyale pour enrayer les erreurs du capitalisme français animé par les plus gros égoïstes humains ?

jeudi 3 septembre 2009

AIDE à DOMICILE au HAVRE


La ville du Havre subit un tsunami de services d'aide à domicile. Récemment, une nouvelle Agence à vu le jour dans le quartier de Notre Dame. C'est encore une société de plus. Depuis que la V.D.H. a fait une mise à mort du service public géré par le C.C.A.S, ce sont des sociétés privées qui prolifèrent sur la Porte Océane, et cela, au détriment des organismes fonctionnant plutôt avec un statut associatif régie par la loi 1901. Les bénéficiaires de ces services variés devraient, à court terme, s'inquiéter de ces groupements qui ressemblent, pour la plupart, à des "pompes à fric" ! Le maintien à domicile des personnes dépendantes en situation de handicap sont des personnes souvent vulnérables, voire, les personnes atteintent de D.M.L.A (Dégénérescence Musculaire Liée à l'Age) facilent à récupérer pour satisfaire quelques "ogres" dominant dans une société gourmande face au malheur des uns et des autres. Les malades souhaitent garder leurs domiciles afin d'éviter les traumatismes hospitaliers. Pour leur bien-être, ils sont dans l'obligation d'être entourés par des personnels ayant reçu des formations qualifiantes. L'aspect humain doit être protégé. Aujourd'hui, il est regrettable que les bénéficiaires d'aide à domicile soient considérés comme des clients et de la marchandise ordinaire. Les intervenantes sont généralement bien formées pour faire face aux détresses physiques et morales des patients. Il est grand temps que le domaine sanitaire et social du département encadre chaque organisme, public ou privé, et moraliser un milieu fragile. Demain, les sujets vulnérables risquent de gonfler les caisses de certains actionnaires, ou assimilés, indélicats et sans scrupule.

L'hygiène et les soins à domicile, ne doivent tomber, en aucun cas, entre toutes les mains. Ce qui est aussi regrettable, c'est que certains organismes tendent l'hameçon en faisant croire que 50% des dépenses sont déductibles des impôts. N'est-ce pas une forme d'escroquerie puisque la majorité des usagers, utilisateurs des services incriminés, ne sont pas imposables.

Il n'est pas facile d'être malade et riche !