Un détenu à été assassiné par son codétenu. Depuis lors, Madame la Ministre de la Justice s'est rendue sur place. Le lendemain, la presse annonçait la suspension de deux surveillants. Les syndicats du personnel pénitentiaire ont dénoncé qu'il fallait des "boucs-émissaires". Pourtant, le placier des détenus dans une cellule ne relève pas des surveillants. De plus, les prisons françaises sont surpeuplées, Le danger est évident.
Aujourd'hui, Madame la Ministre a décidé d'annuler ces sanctions. Quelquefois au niveau politique le plus élevé, il y a moyen de prendre soin de la " BONNE NOUVELLE"....
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