Encore une fois, une jeune mère de 44 ans a tué sa fille de 8 ans atteinte de handicaps moteur et cérébral à Saint-Malo.
Une mère épuisée parce que elle était face à une maladie irréversible et redoutable pour une longue vie. Le pire, c'est qu'elle était probablement abandonnée, avec son enfant, par son époux . Cette mère avait quitté, par obligation, son emploi pour assurer seule les durs méfaits de la maladie. Trop jeune pour parler d'euthanasie active mais il y a similitude indéniable. Et, où son les services médico-psycho-sociaux, seuls compétents, pour mettre en place un accompagnement plus sains et sur une longue durée ? Le surmenage d'une mère a ses limites ! La présence d'une aide permanente à domicile était la solution la plus humaine. C'était d'éviter le traumatisme d'un placement en structure spécialisée vers le médico-éducatif. La France, avec ses techniciens dans ce domaine, laisse souffrir des personnes en situation de détresse morale par la lenteur des décisions adéquates. Lorsqu'il est trop tard, la brochette administrative tue celles, ou ceux, qui attendent des secours d'urgence. Elle aime la paperasserie mais n'assure pas tout. Il a des drôles de mentalités à changer !
Ainsi, commençons à respecter la loi du 11 février 2005 pour l'égalité des chances et le droit à la citoyenneté. Il y aurait moins de drame humains....