Il y a cinq ans le gouvernement de Monsieur Rafarin créait une journée solidarité, le lundi de pentecôte. 2 milliards d'euros sont récoltés chaque année dont 60 % en faveur des personnes âgées en vue d'améliorer leur vie quotidienne et 40 % pour favoriser l'insertion des personnes handicapées. La Députée PS, Laurence Dumont, dénonce le flou qui pèse sur la coordination des projets financés. Elle est persuadée qu'une partie des sous versés serviraient à combler le trou de la Sécurité Sociale. Aujourd'hui, plus rien ne m'étonne ! Une Mission Parlementaire doit contrôler et rendre des comptes précis quant à l'utilisation des fonds versés par la solidarité des salariés. Les députés de l'opposition doivent se pencher sur ce dossier qui pourrait être couvert par d'éventuelles malversations.
Les personnes handicapées n'ont plus la possibilité de faire appel au Fonds de Compensation auprès de la MDPH. en effet, les caisses sont vides pour plusieurs mois et peut être pour toujours. Adieu le financement des aides techniques pour le maintien en milieu ordinaire de vie.
Dans le passé, l'AGEFIPH alimenté avec les amendes versées par les employeurs qui ne respectent pas le taux de travailleurs handicapés dans leurs entreprises. Il y aurait des fonds qui avaient été utilisé pour alimenter "X" caisses. Il serait souhaitable qu'un contrôle soit effectué sur plusieurs années écoulées. Personne ne serait surpris du résultat de l'enquête !